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Être le nègre de quelqu'un pour une élève de 6e à l'école primaire du Québec

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GATINEAU (Aylmer), QC (Canada) 17 OCT 2019

Le 8 octobre 2019, un père a déposé une plainte à la Commission des droits de la personne du Québec en raison de l'expression d'un propriétaire d'esclave dans un livre attribué par l'école primaire de son fils. …) » était l'expression interceptée par M. François, alors que son fils de 6e lisait le livre à haute voix dans sa voiture.

Le livre, « Un Cadavre de Classe » de Robert Soulières, s'est répandu dans les écoles du Québec, depuis qu'il a reçu un prix littéraire de M. Christie, propriété de Mondelez International, le fabricant des barres chocolatées Cadbury, des biscuits Oreo et des craquelins Ritz (NASDAQ:MDLZ ).

« Exposer l'esprit malléable des enfants à une telle expression sans contexte compromet l'harmonie de la société de demain », a déclaré M. François.

Après avoir lu le livre en entier, le père de 38 ans a par la suite envoyé sa plainte directement à l'école, puis à la commission scolaire et au ministère de l'Éducation.

M. François a déclaré dans sa lettre de plainte que son fils ne reprendrait pas la lecture du livre, affirmant que :

« prendre position pour nos convictions fait aussi partie de l'éducation ».

L'école a d'abord répondu aux parents que c'était leur façon d'ouvrir une discussion sur le racisme.

M. François a exprimé qu'il a été abandonné par le système éducatif et que l'école et le ministère de l'Éducation du Québec ont la responsabilité de préserver l'estime de soi de chaque enfant, peu importe sa race, sa religion ou son origine ethnique.

Préoccupé par le processus de sélection des livres, M. François a décidé de rassembler un groupe de parents autour de la campagne #weCARE, pour sensibiliser aux contenus utilisés pour éduquer les enfants.

Le groupe souhaite insister sur la nécessité d'établir des mesures concrètes pour filtrer le matériel éducatif de tout contenu discriminatoire qui pourrait porter préjudice aux enfants.

« J'ai intercepté cette phrase indignée par hasard, mais […] le racisme systémique raté est un poison caché », a déclaré M. François.

Il a poursuivi en expliquant que les parents confient l'avenir de leurs enfants aux éducateurs, nous devons donc veiller à ce qu'ils soient tenus responsables.

Nous devrions au moins essayer d'utiliser cette attention médiatique et montrer à nos enfants comment transformer un événement raciste en une opportunité de rendre le monde meilleur.

M. François croit fermement qu'en endossant ce livre avec un chèque de 7 000 $, M. Christie a légitimé et promu le racisme systémique.

M. François a fait remarquer que si un enfant lisait ce livre à onze ans en 1997, il y a 22 ans, en 2019, il pourrait probablement être un enseignant, un éducateur ou même un policier de 32 ans.

Cela survient au moment où un récent rapport mandaté par la Ville de Montréal révèle que les communautés minoritaires sont contrôlées de manière disproportionnée par le SPVM, la force policière de la plus grande ville du Québec.

FiltrAge.org sera à l'avant-garde de la campagne en attendant la réponse de la Commission des droits de l'homme, qui gère un grand nombre de plaintes.

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Expression raciste dans le livre :

« On est souvent le nègre de quelqu'un dans la vie et ce quelqu'un c'est moi, Obey (…) Ne dis pas que je suis raciste tu vois ce que je veux dire »

Un Cadavre de Classe (Robert Soulières 1997)

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Littéraire M.Christie :

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Le livre, « Un Cadavre de Classe » de Robert Soulières, s'est répandu dans les écoles du Québec, depuis qu'il a reçu un prix littéraire de M. Christie, propriété de Mondelez International, le fabricant des barres chocolatées Cadbury, des biscuits Oreo et des craquelins Ritz (NASDAQ:MDLZ ).

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Nous confions l'avenir de nos enfants à une éducatrice ; assurons-nous qu'ils sont responsables

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